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    Je suis prêtre du diocèse d'Orléans au service de plusieurs paroisses et aumônier  dans un établissement catholique d'enseignement.Auteur du blog
        J'ai fait des études à l'Institut Catholique de Paris dans le domaine de la Catéchèse (ISPC).
        Je cherche régulièrement à fabriquer des outils pédagogiques pour la catéchèse et le
     catéchuménat, pour les jeunes et les adultes.
        Ce blog est un de mes outils "fait maison" ou presque, avec des petites vidéos.
        Alors, n'hésitez pas à me laisser un commentaire pour adapter le mieux possible ce blog à ses visiteurs.
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    1 commentaire
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    Blague et image de la semaine

    Au Vatican quand on élit un Pape, on voit soit une fumée noire soit une fumée blanche.

    Mais comment font ils ?


    Pour la fumée noire on brûle des pneus normaux

    Et pour la fumée blanche? ...

    on brûle des pneus neige.

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                                             Ma Joie

    1-    Il est des âmes sur la terre

    Poème MA JOIE de Ste Thérèse

    Qui cherchent en vain le bonheur

    Mais pour moi, c’est tout le contraire

    La joie se trouve dans mon cœur

    Cette joie n’est pas éphémère


    Comme une rose printanière
    Je la possède sans retour

    Elle me sourit chaque jour. (Bis)

     

    2-   Lorsque le Ciel bleu devient sombre

    Et qu’il semble me délaisser,

    Ma joie, c’est de rester dans l’ombre

    De me cacher, de m’abaisser.

    Ma joie, c’est la Volonté Sainte

    De Jésus mon unique amour

    Ainsi je vis sans nulle crainte

    J’aime autant la nuit que le jour. (Bis)

     

    3-   Ma joie, c’est de rester petite

    Aussi quand je tombe en chemin

    Je puis me relever bien vite

    Et Jésus me prend par la main

    Alors le comblant de caresses

    Je Lui dis qu’Il est tout pour moi

    Et je redouble de tendresses

    Lorsqu’Il se dérobe à ma foi. (Bis)

     

    4-   Ma joie, c’est de lutter sans cesse

    Afin d’enfanter des élus

    C’est le cœur brûlant de tendresse

    De souvent redire à Jésus : 

    « Pour Toi, mon Divin petit Frère

    Je suis heureuse de souffrir

    Ma seule joie sur cette terre

    C’est de pouvoir Te réjouir. (Bis)

     

    5-   Longtemps encore je veux bien vivre

    Seigneur, si c’est là ton désir

    Dans le Ciel je voudrais Te suivre

    Si cela Te faisait plaisir.

    L’amour, ce feu de la Patrie

    Ne cesse de me consumer

    Que me font la mort ou la vie ?

    Jésus, ma joie, c’est de T’aimer ! (Bis) 

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  • Poèmes VIVRE D'AMOUR ET MA JOIE de Ste Thérèse 

    Vivre d’Amour !...

     

              1-     Au soir d’Amour, parlant sans parabole

              Jésus disait : « Si quelqu’un veut m’aimer

              Toute sa vie, qu’il garde ma Parole

              Mon Père et moi viendront le visiter.

              Et de son cœur faisant notre demeure

              Venant à lui, nous l’aimerons toujours !...

              Rempli de paix, nous voulons qu’il demeure

    En notre Amour !... »                                                                                                                                                             

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    2-     Vivre d’amour, c’est te garder toi-même 

    Verbe incréé, Parole de mon Dieu,

    Ah ! Tu le sais, Divin Jésus, je t’aime

    L’Esprit d’Amour m’embrase de son feu

    C’est en t’aimant que j’attire le Père

    Mon faible cœur le garde sans retour.

    O Trinité ! Vous êtes Prisonnière

    De mon Amour !...

     

    3-     Vivre d’Amour, c’est vivre de ta vie,

    Roi glorieux, délice des élus.

    Tu vis pour moi, caché dans une hostie

    Je veux pour Toi ma cacher, ô Jésus !

    A des amants, il faut la solitude

    Un cœur à cœur qui dure nuit et jour

    Ton seul regard fait ma béatitude

    Je vis d’Amour !...

     

    4-     Vivre d’Amour, ce n’est pas sur la terre

    Fixer sa tente au sommet du Thabor.

    Avec Jésus, c’est gravir la Calvaire,

    C’est regarder la Croix comme un trésor !...

    Au Ciel je dois vivre de jouissance

    Alors l’épreuve aura fui pour toujours

    Mais exilée je veux dans la souffrance

    Vivre d’Amour !...

     

    5-     Vivre d’Amour c’est donner sans mesure

    Sans réclamer de salaire ici-bas

    Ah ! Sans compter je donne étant bien sûre

    Que lorsqu’on aime on ne calcule pas !...

    Au Cœur Divin, débordant de tendresse

    J’ai tout donné… légèrement je cours

    Je n’ai plus rien que ma seule richesse

    Vivre d’Amour !...

     

    6-     Vivre d’Amour, c’est bannir toute crainte

    Tout souvenir des fautes du passé.

    De mes péchés je ne vois nulle empreinte,

    En un instant l’amour a tout brûlé…

    Flamme divine, ô très douce Fournaise !

    En ton foyer je fixe mon séjour

    C’est en tes feux que je chante à mon aise :

    Je vis d’Amour !...

     

    7-     Mourir d’Amour voilà mon espérance

    Quand je verrai se briser mes liens

    Mon Dieu sera ma grande récompense

    Je ne veux point posséder d’autres biens

    De son Amour je veux être embrasée

    Je veux le voir m’unir à Lui toujours

    Voilà mon Ciel, voilà ma destinée

    Vivre d’Amour !...

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  • Album "Thérèse : Vivre d’amour", le projet musical voit le jour à l’occasion de concerts exceptionnels. Des voix magnifiques emplies de pureté portent ces écrits en quête d’amour s’harmonisant aux mélodies douces et envoûtantes pour un moment de beauté unique.

    13 octobre concert Thérèse à la cathédrale d'Orléans

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  • La Vie de Sainte Thérèse de Lisieux 

    1er octobre Fête de Sainte Thérèse de Lisieux

         Il n’aura fallu que 24 ans à Thérèse Martin pour devenir "la plus grande sainte des  

      temps modernes" (Pape Pie X). Elle franchit à l’âge de 15 ans de multiples obstacles

      pour entrer au Carmel où elle désire prouver son amour au Christ qui l’appelle à

      donner sa vie pour le monde.

         Devenue Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Saint Face, elle choisit de faire une confiance totale au Seigneur et de devenir de plus en plus petite pour s’abandonner à Lui. En 1896, elle découvre le sens profond de sa vocation : « Dans le cœur de l’Église, ma Mère, je serai l’amour » et elle s’offre de plus en plus pour soutenir l’effort des missionnaires. Pour cela, elle vit jusque dans les petites choses sa "voie de confiance et d’amour" qu’elle voudrait transmettre au monde.

         Thérèse est la plus connue des saintes françaises à l’étranger, alors que presque personne n’avait assisté à ses funérailles. Morte à 24 ans le 30 septembre 1897 au carmel de Lisieux, elle y était entrée le 9 avril 1888 à l’âge de 15 ans. Elle a été canonisée en 1925 par le pape Pie XI et déclarée patronne secondaire de la France en 1944 par le pape Pie XII. Le 19 octobre1997, sur la place Saint-pierre de Rome, le pape Jean-Paul II l’a proclamée "Docteur de l’Église". Un titre réservé à ceux et à celles qui ont particulièrement bien compris et mis en valeur le message de l’Évangile. C’est la plus jeune des 33 "docteurs".

         Trois mois avant de mourir, Thérèse avait prévu qu’elle passerait son ciel à faire du bien sur la terre, à y faire tomber une "pluie de roses", comme elle avait dit un jour. Son pressentiment s’est réalisé. Très peu de temps après sa mort, des guérisons et des conversions en grand nombre ont été obtenues grâce à son intercession. Thérèse a beaucoup souffert au cours de sa brève existence.

         A l’âge de quatre ans et demi, elle perd sa mère ; quatre ans plus tard, Pauline, sa soeur part au Carmel et Thérèse en tombe malade. Guérie à l’âge de dix ans par le sourire de la Vierge Marie, elle n’est libérée qu’à l’âge de quatorze ans de ses pleurnicheries interminables d’enfant trop sensible.

         De l’avis de tous les témoins, Thérèse conserva néanmoins un merveilleux sourire au milieu de toutes ces épreuves. Les raisons de cette joie ? Thérèse avait reçu la grâce de comprendre de façon lumineuse à quel point elle était une "enfant chérie" de Dieu. En relisant l’histoire de sa vie, Thérèse se plaît à repérer toutes les délicatesses du Seigneur à son égard.

    "Tout est grâce", aimait-elle redire. 

     

                                                                                                                                                                Possibilité de stopper la publicité
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  •                                                                    HOMELIE
    DU 26è Dimanche Ordinaire de l'année C
    Dimanche 29 Septembre 2013
     

       

                Introduction à la lecture 1 : Il faut replacer cette lecture dans son contexte. Le prophète Amos est un petit berger et il critique durement ceux qui vivent de façon égoïstes : ils ne pensent qu’à eux et ne partagent pas.

     

                Introduction à la lecture 2 : Saint Paul nous invite à vivre dans la foi en la présence du Christ Jésus qui est lumière.
     

       

    Evangile : Luc 16, 19-31

     

                Homélie :

     

                Les textes de la Parole de Dieu de ce dimanche sont clairs et directs.

     

                Il y a une urgence : Lazare, le pauvre, est là qui souffre de faim et de froid, écrasé par la misère, sur le pas de la porte du riche propriétaire.

     

                Cette situation de détresse, Jésus, en son temps, a su la voir et l’a révélée à ses contemporains.

     

                Aujourd’hui, à 20 siècles de distance, bien des personnes sont également dans de pareilles détresses.
                Oui, les Lazares sont nombreux dans le monde. C’est à l’échelle de la terre entière que désormais la parabole du pauvre Lazare doit être interprétée et comprise.

     

                Inondations, catastrophes naturelles, épidémies, famines, guerres, injustices, jugements sommaires … etc. Les plus faibles sont écrasés, toujours eux.

     

                Comment faire face à ce déferlement de pauvretés au niveau mondial. Faut-il sombrer dans l’angoisse de ne pouvoir rien faire ?
                Notre cœur, notre bonne volonté ne risquent-ils pas de se fermer avant de s’ouvrir, devant le constat d’une certaine impuissance à modifier sérieusement le cours des évènements.

      

                A quoi bon entreprendre quelque chose ?

     

                Cette angoisse qui paralyse n’est pas digne de la foi que nous partageons.

     

                Un journaliste interviewait, un jour, mère Térésa en lui faisant remarquer : « Mais, ma sœur, votre action, à Calcutta, est ridiculement insignifiante. C’est une goutte d’eau dans l’océan de la misère!!! »

     

                Et mère Térésa a répondu tranquillement : « Oui, ce que je fais, c’est une goutte d’eau ! Mais, si je n’apportais pas ma goutte d’eau… elle manquerait à l’océan !!! »

     

                Cette réponse nous interpelle chacun de nous. La goutte d’eau que je peux apporter là où je vis est-ce que réellement je l’apporte ?
     
                La parabole de Lazare que nous venons d’entendre nous rappelle douloureusement les pauvretés qui existent dans le monde.
                Nous pourrions alors réagir en appelant à la révolution, en sollicitant une réponse de masse.

     

                Or, avec Jésus, et avec la confiance que nous mettons en Lui, il ne s’agit pas de solliciter une révolution mais de faire grandir la conversion, le changement de nos cœurs.

     

                « Convertissez-vous et croyez en la Bonne Nouvelle de la présence agissante de Dieu au milieu du monde ! »

     

                A la fin de la parabole de Lazare, il est d’ailleurs question de conversion.
                En moi, en chacun de nous voici quelques exemples de gouttes d’eau qui peuvent être très efficaces : l’humilité, le pardon, la bonté, le service, la vérité, l’honnêteté.

     

                Que nos inquiétudes ne nous paralysent pas. Que nos angoisses ne nous écrasent pas. Car, rappelons-nous sans cesse, que Jésus nous connaît chacun et qu’il nous porte dans son cœur.

     

                Le Seigneur nous connaît bien, encore mieux que nous nous connaissons nous-mêmes. Il pose sur nous un regard de douceur et de patience. Il compte sur nous. Il a confiance en nous jusqu’au bout.
                Avec le Seigneur Jésus, nous pouvons faire ressortir le meilleur de nous-mêmes.
                N’est-ce pas ce qui se passe, à chaque Eucharistie, où Jésus nous donne sa force pour réveiller nos petites gouttes d’eau.
     
     SI LA PIERRE DISAIT.....
     
    Si la pierre disait : Ce n'est pas une pierre qui peut monter un mur, Il n'y aurait pas de maison.
    Si la goutte d'eau disait : Ce n'est pas une goutte d'eau qui peut faire une rivière, Il n'y aurait pas d'océan.
    Si le grain de blé disait : Ce n'est pas un grain de blé qui peut ensemencer un champ, Il n'y aurait pas de moisson.
    Si l'homme disait : Ce n'est pas un geste d'amour qui peut sauver l'humanité, Il n'y aurait jamais d’amitié et de paix sur la terre des hommes.

     

    Comme la maison a besoin de chaque pierre,
    Comme l'océan a besoin de chaque goutte d'eau,
    Comme la moisson a besoin de chaque grain de blé,
    L'humanité tout entière a besoin de TOI,
    Là où tu es.
                                                             D’après Michel QUOIST
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  • HOMELIE
    DU 25è Dimanche Ordinaire de l'année C
    Dimanche 22 Septembre 2013
     
    Evangile : Luc 16, 1-13
     
                Homélie :
     
                On ne peut pas être indifférent à cette parabole où Jésus parle d'un gérant malhonnête.
     
                Jésus interpelle ses auditeurs, nous interpelle sur notre attitude envers l’argent et envers Dieu.
    En effet, quand il s’agit d’argent, nous pouvons nous montrer très habiles. Quand il s’agit de Dieu, nous ne sommes pas toujours très habiles.
     
    Qu’est-ce je choisi de vivre ? : « Vivre pour manger, ou manger pour vivre. » selon une citation de Molière.
    « Vivre pour l’argent ou l’argent pour vivre. »
     
    Quel est mon choix de vie ? Jésus n’est pas contre le fait d’avoir de l’argent. Il en faut pour vivre. Jésus prévient du danger de choisir l’argent comme sens à sa vie.
     
    Il est inévitable d’être attiré par l’argent, mais celui-ci me rendra heureux si je le considère comme un moyen et non comme un but.
     
    Et si on lisait maintenant cette parabole avec la foi en Dieu Père, Fils et Saint Esprit.
     
    C’est-à-dire la foi en Dieu créateur, la foi en sa venue en Jésus, et la foi en son Amour (l’Esprit Saint). Alors je dis que le monde n’existe pas par hasard.
     
    Dans la foi, je crois que le monde, les biens matériels, mes qualités, mes relations avec les autres, tout cela m’est confié par Dieu.
     
    La foi est le contraire de l’égoïsme : tout ce que je vis, tout ce que je fais a des répercussions sur sur mon entourage proche ou lointain.
     
    Qu’est-ce que je fais des richesses que Dieu a mises en moi ? Et vous comprenez que nous pouvons faire référence à de nombreuses richesses qui n’ont pas forcément un lien avec l’argent.
     
    Notre richesse, c’est peut-être notre intelligence, notre bon-sens : Est-ce que j’en fais profiter les autres ?
                Notre richesse, c’est peut-être tout simplement notre cœur : Est-ce que nous le réservons à quelques-uns ou est-ce que nous osons être attentifs à ceux qui connaissent la solitude ?
     
    Notre richesse, c’est peut-être le temps dont nous disposons : Est-ce que nous savons sortir de chez nous, pour se rendre utile et avoir la joie de rendre service ?
     
    Puissions-nous vivre, avec l’aide de la foi, comme des gérants avisés des richesses que Dieu a mises en nous.
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  • Le 1er novembre, nous entendons l’Evangile des Béatitudes : Heureux…, heureux…, … .
    Les Béatitudes ont été transmises de génération en génération jusqu’à aujourd’hui.
    C’est un texte très ancien et très beau quand on sait le comprendre !!!

     

    Les Béatitudes de Jésus en Mt 5,3-11a 

    • Heureux les pauvres de cœur, car le Royaume de Dieu est à eux !
    • Heureux les doux: ils obtiendront la terre promise !
    • Heureux ceux qui pleurent, ils seront consolés !
    • Heureux ceux qui ont faim et soif de justice, ils seront rassasiés !
    • Heureux les miséricordieux, ils obtiendront miséricorde!
    • Heureux les cœurs purs, ils verront Dieu !
    • Heureux les artisans de paix, ils seront appelés fils de Dieu !
    • Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, le royaume des cieux est à eux !
    • Heureux serez-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous à cause de moi !
    • Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse car votre récompense sera grande dans les cieux !

    Explication : Jésus ne se réjouit pas de ceux qui sont pauvres. Jésus nous dit : Heureux ceux qui savent avoir un cœur de pauvres. Heureux ceux qui savent avoir besoin des autres, donc heureux ceux qui reconnaissent leurs pauvretés que les autres peuvent combler.

    Jésus ne se réjouit pas non plus de ceux qui pleurent. Jésus nous dit : Heureux ceux qui savent pleurer avec ceux qui pleurent.

    Les Béatitudes sont un chemin de sainteté proposé à nous tous qui cherchons à être heureux.

    Oui la sainteté n’est pas pour quelques-uns. La sainteté est pour tous.

    Voici des attitudes qui mènent à la sainteté : la pauvreté du cœur, la douceur, les larmes, la miséricorde, la quête de la justice, la paix.

    Ce chemin nous ne le faisons pas tout seul heureusement. Des hommes et des femmes ont pris ce chemin avant nous : c’est la foule innombrable des saints connus et inconnus, dont les noms sont dans le cœur de Dieu.

    Nous pouvons chacun représenté une Béatitude. Quelle est ma Béatitude. Quelle est la Béatitude que je vis aujourd’hui ?

    La sainteté n’est pas quelque chose de compliquée ou d’inaccessible.

    Bienheureux ceux qui laissent grandir en eux :

    la force du besoin de l’autre, la force de la douceur,

    la force du pardon, la force du courage, la force de la justice,

    la force de la confiance, la force de la paix.

     

    Petites Béatitudes d'aujourd'hui

           Bienheureux ceux qui savent rire d’eux-mêmes : 
    ils n’ont pas fini de s’amuser. 
           Bienheureux ceux qui savent distinguer une montagne d’une taupinière : il leur sera épargné bien des tracas. 
           Bienheureux ceux qui sont capables de se reposer et de dormir sans chercher d’excuses : ils deviendront sages.

             Bienheureux ceux qui savent se taire et écouter : 
    ils en apprendront des choses nouvelles ! 
           Bienheureux ceux qui sont assez intelligents pour ne pas se prendre au sérieux : ils seront appréciés de leur entourage.

           Heureux êtes-vous si vous savez regarder sérieusement les petites choses, et paisiblement les choses sérieuses : vous irez loin dans la vie. 
           Heureux êtes-vous si vous savez admirer un sourire et oublier une grimace : votre route sera ensoleillée. 
           Heureux êtes-vous si vous êtes capables de toujours interpréter avec bienveillance les attitudes d’autrui, même si les apparences sont contraires : vous passerez pour des naïfs, mais la charité est à ce prix.

           Bienheureux ceux qui pensent avant d’agir et qui prient avant de penser : ils éviteront bien des bêtises.        

           Bienheureux vous qui savez reconnaître le Seigneur en tous ceux que vous rencontrez : vous avez trouvé la vraie lumière, vous avez trouvé la véritable sagesse. 

     

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    Le 2 novembre, c’est la grande prière pour les défunts.

     

             Le 2 novembre, toute l’Eglise se mobilise pour une grande prière. Une prière pour tous les défunts. Et en priant pour les défunts l’Eglise prie aussi pour tous ceux qui souffrent du départ d’un des leurs.
             En ce lendemain de la Toussaint, les cimetières ressemblent à des jardins de fleurs. Les fleurs sur les tombes des défunts, sont un signe d’espérance et un acte de foi : « Je crois qu’au-delà de la mort terrestre, la vie fleurit pour toujours. »
     
    La Toussaint 2 novembre
    - Le 2 novembre prière pour les défunts –
    La mort de ceux qu’on aime, cela nous semble toujours injuste. Un arbre est déraciné
     
    sous lequel on aimait vivre…. Croire c’est vouloir vivre ! Vivre jusqu’au bout de la mort !
     
    Croire, c’est croire en la vie et donner la vie, c’est combattre la mort ! Il faut que
     
    l’homme apprenne à voir la mort comme un moment de la vie.

             Etre fidèle à ceux qui sont morts, ce n’est pas s’enfermer dans sa douleur. Il faut continuer de creuser son sillon : droit et profond, comme ils l’auraient fait eux-mêmes… comme on l’aurait fait avec eux, pour eux.

             Etre fidèle à ceux qui sont morts, c’est vivre comme ils auraient vécu… et les faire vivre en nous… et transmettre leur visage, leur voix, leur message, à un enfant, à un frère, à une sœur, à un ami, ou à des inconnus, aux autres quels qu’ils soient.

             Et la vie des défunts, alors, germera sans fin.

             Les défunts continuent à vivre dans le souvenir de ceux et celles qui demeurent. Ils vivent encore, parce que l’univers est une éternité qui se transforme. Et l’homme est une parcelle de cet univers. Comme l’univers il se transforme. La mort est un passage. Car la vie est éternelle… et la mort est la fin d’une forme de la vie.      

                                                            (Méditation inspirée d’un texte de Martin Gray)

     

        "Tous les hommes sont appelés à mourrir un jour. C'est pourquoi, à un moment ou à un autre, chacun se demande : "Qu'y a t'il après ?"
        A cette question existentielle saint Paul répondait : "Il ne faut pas que vous soyez abattus comme les autres qui n'ont pas d'espérance. Jésus est mort et ressuscité. Ceux qui se sont endormis, Dieu, à cause de Jésus, les emmènera avec son Fils. Ainsi nous serons pour toujours avec le Seigneur."
        La foi chrétienne affirme que la mort n'est pas la fin de la vie. Elle parle de la mort comme d'une naissance, d'un passage vers l'éternité... vers Dieu."
     

     


     

     

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